Commander un sapin chez Cocorikraft . Avoir pas mal rêvé d’un sapin autrement.
Envoyer un mail. Se gauffrer trois fois dans l’adresse. Il était tard, il est vrai… Finalement attraper le téléphone, et textoter la confirmation.
Coup de sonnette et livraison quelques jours plus tard.
Le déplier.
1 mètre 70, l’animal !
Du carton que même pas, le chat va griffer. Le chat a sommeil et, à vrai dire, s’en fiche un peu.
Commencer à s’interroger. To paint or not ? Et de quelle couleur en prime? Blanc ??? Oui mais…bleu pétrole …
Tergiverser des jours et des jours…
L’aimer en version kraft aussi.
Partir acheter une ampoule et revenir finalement avec une bombe de peinture blanche.
La jouer paillettes ! Le ressortir pour l’emmener au grenier. Inhaler grave la peinture en bombe. Se rappeler d’ouvrir le Velux. Avoir froid…
Saupoudrer de paillettes. Se couvrir de paillettes. Se rappeler comment les paillettes s’accrochent pour toujours à n’importe quelle fringue.
Et comme çà illumine la vie.
Le redescendre avec moult précautions. Manquerait plus que de l’écorner au passage.
Ouvrir la boîte magique. Celle qui s’appelle ‘Noël’. Des boules achetées ici et là…des décos d’enfants fabriquées années après années…
Accrocher ce joyeux foutoir avec MissTigrou.
Cette année, Joseph s’est fait la malle. Impossible de le retrouver, même au fond de la boîte. Il nous manquait déjà un berger, et un ange a une aile cassée. Crèche de bric et de broc…
Mais elle aussi, a une histoire. Alors c’est ok, on la garde !
Bonne semaine, les Oursins !
A vendredi
Oursine
Laisser un commentaire