cette nuit, où tu te retrouves à compter les moutons, sur le plafond vert pâle , d’un box des urgences.
Cette nuit, qui va durer jusqu’au matin, celle où ton corps dit stop. Où il te rappelle qu’il a multiplié les alertes. Et où maintenant, il refuse, tout, tout de suite, et le reste en prime.
Les machines et les médecins ont fait leur job. Plutôt bien.
Merci à eux.
Ils m’ont même laissée sortir. Je suis au repos.
Parce que j’ai atteint mes limites.
( à suivre…)
O.
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