Fracas. Chaos. Poussière…Chute de béton armé. Vestiges de métal. Trouée. Ici et maintenant… Demain, ce sera différend.
Vue sur la rivière.
Enfin !
Jusqu’à quand ? Indifférence des gens qui passent. Convoitise d’un espace qui se libère dans l’hyper-centre de la ville. Ceux qui sont dans le secret des Dieux savent ce qu’il en adviendra…Pas moi.
Pour l’instant, jour après jour, j’observe. Peu m’importe, pour l’instant, l’après.
Engins de chantier. Maisons éventrées. Façades debout comme des décors de théâtre. Oscar Wilde nous nargue encore pour quelques jours.
‘Il faut, nous rappelle-t-il, avoir des rêves assez grands pour ne pas les perdre de vue quand on les suit’
Bonne semaine, les Oursins ! Le givre arrive !
A vendredi,
Oursine
Merci pour cette belle citation d’Oscar Wilde !
Cette photo me fait aussi penser aux sordides décors du film de Polanski « Le Pianiste ».
d’aprezs ce que j’ai compris, se sera un nouveau parking avec entrée privative pour le printemps, les commerçants de la petite rue qu’il y a derrière (et où il y a Toto tissus) on tous une pétition à signer contre ce projet car l’entrée sera dans leur toute petite rue.
Tout mute, tout change, tout passe, rien n’est permanent 😉
Merci de nous rappeler ces très beaux mots d’Oscar.
Merci pour vos commentaires !
Entre temps, l’image d’Oscar a disparu, le pan de mur n’est plus. Le chantier suit son cours, et peut être, oui, un parking remplacera un parking … Dommage …
Il nous reste les mots .